Comment devenir le R.O.I. du monde?
R.O.I., comme l'acronyme anglosaxon de "retour sur investissement" (return on investment). Ou encore, comment devenir le roi du R.O.I.?
La recette est simple, elle nous est donné par M. Jeannerat dans un article publié sur letemps.ch. L'occasion pour moi de rebondir sur vos nombreuses réactions concernant les manoeuvres de "prédation".
La démonstration est simple et sans appel:
"La crise financière enrichit le vocabulaire de nouveaux mots. En ce moment, l'expression de circonstance est «deleveraging». Le mot a émergé ces dernières semaines pour expliquer les ventes précipitées observées sur les bourses et imputées principalement aux fonds spéculatifs, dits «hedge funds», étranglés par la dette au point de céder n'importe quoi à n'importe quel prix. Eux, comme d'autres établissements, pour éponger leurs pertes, retirent leurs capitaux qu'ils avaient placés sur tels ou tels marchés, vendent, liquident des positions.
[...]
Aux Etats-Unis et en Europe, de nombreuses entreprises atteignent aujourd'hui des niveaux de cours qui les désignent pour être la cible d'OPA ou d'OPE hostiles. Une seule chose les en protège: la difficulté de monter de telles opérations de rachats sans le concours des banques et de lignes de crédits."
La clarté de ces propos me dispense de les commenter...
La recette est simple, elle nous est donné par M. Jeannerat dans un article publié sur letemps.ch. L'occasion pour moi de rebondir sur vos nombreuses réactions concernant les manoeuvres de "prédation".
La démonstration est simple et sans appel:
"La crise financière enrichit le vocabulaire de nouveaux mots. En ce moment, l'expression de circonstance est «deleveraging». Le mot a émergé ces dernières semaines pour expliquer les ventes précipitées observées sur les bourses et imputées principalement aux fonds spéculatifs, dits «hedge funds», étranglés par la dette au point de céder n'importe quoi à n'importe quel prix. Eux, comme d'autres établissements, pour éponger leurs pertes, retirent leurs capitaux qu'ils avaient placés sur tels ou tels marchés, vendent, liquident des positions.
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Aux Etats-Unis et en Europe, de nombreuses entreprises atteignent aujourd'hui des niveaux de cours qui les désignent pour être la cible d'OPA ou d'OPE hostiles. Une seule chose les en protège: la difficulté de monter de telles opérations de rachats sans le concours des banques et de lignes de crédits."
La clarté de ces propos me dispense de les commenter...